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Des matchs à Londres, Barcelone et Shangaï en 2019 pour Toronto ?

Le Lampart Stadium de Toronto est fermé, l’hiver.

Toronto écrase le Championship de sa supériorité, cette saison, et est plus que jamais un candidat sérieux à une entrée en Super League en 2019.

Pour cela, il faudra au Wolfpack canadien terminer dans les quatre premiers du prochain Middle Eight.

Voilà pour l’aspect sportif, mais selon le journaliste australien Steve Mascord, qui aurait recueilli les confidences de plusieurs directeurs exécutifs de clubs de Super League, la franchise de l’Ontario pourrait se heurter à un autre problème, si d’aventure elle gagnait son accession sur le terrain.

Car on sait qu’en raison du rude hiver canadien, le Wolfpack ne peut disputer à domicile les matchs des trois premiers mois de la compétition.

Cette année en Championship, le club avait l’Odsal de Bradford comme base arrière, où il “recevait” ses adversaires.

Or, qu’en sera-t-il en 2019 en cas d’accession ?

Des clubs anglais de Super League ne seraient guère favorables, semble-t-il, à un projet du même ordre, préférant le classique système des matchs aller-retour.

Mais où donc, dès lors, les Canadiens disputeraient leurs rencontres à domicile, de février à avril ?

Leurs dirigeants caresseraient l’idée de jouer en Europe et/ou en Asie.

Les noms de Londres, Barcelone, Shanghaï, notamment, auraient ainsi été évoqués.

Passe pour la capitale de l’Angleterre, mais l’Espagne et, surtout, la Chine…

Les clubs anglais accepteraient-ils d’adhérer à cette idée révolutionnaire, avec les inconvénients que cela suppose en terme de déplacements et de logistique ?

Voilà un dossier chaud qui pourrait arriver tôt ou tard sur le bureau du nouveau directeur exécutif de la Super League, Robert Elstone…

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