Même s’il n’a pas disputé le match de la rédemption, dernièrement à Lézignan, Florian Deburghgraeve, ailier racé, reste plus que jamais un des cadres d’Albi RL, cette saison.
Impressions avant la venue d’Avignon au stade Mazicou, le week-end prochain.
Pourquoi ne figurais-tu pas sur la feuille de match, le 27 janvier ?
Retenu par mes obligations professionnelles, je n’avais pu m’entraîner lors de la semaine précédent la rencontre.
Comment expliquer les difficultés rencontrées par Albi, avant la victoire au Moulin ?
Nous avions manqué de sérieux. Nous nous l’étions d’ailleurs dit entre nous, et sans doute avions-nous besoin d’un électro-choc pour réagir.
Qui tire l’équipe vers le haut, cette année ?
Le retour de William Ousty à l’entraînement, début janvier, nous a fait beaucoup de bien. Et pour son premier match de la saison, Albi l’a emporté. On sent également que les joueurs étrangers se responsabilisent davantage. Ils avaient besoin d’un temps d’adaptation, et désormais ils montent en puissance.
Eric Anselme est-il de retour aux entraînements ?
Pas encore, les joueurs restent à leur place, se préoccupent du terrain, mais nous espérons qu’il va revenir, vu tout le travail qu’il a effectué ici, ces dernières saisons. Comme les joueurs, sans doute a-t-il des responsabilités concernant nos manques cette saison, mais cela dit, il existe des crises tous les ans dans tous les clubs.
Il va vous falloir confirmer face à Avignon…
Oui, la défaite est interdite, mais nous ne fanfaronnons surtout pas après cette victoire à Lézignan. L’équipe est jeune, et ça reste fragile”.