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Love Rugby League : “The Big Interview” de Luc Lacoste, Président de la FFR XIII

Le Rugby à XIII français connaît une sorte de renaissance en ces temps inhabituels, et le Président de la Fédération Française, Luc Lacoste est bien déterminé à poursuivre sur cette lancée. Il s’est livré au journal anglais Love Rugby League, dans une longue interview où il évoque les chantiers en cours et les ambitions du XIII en France et à l’international.

Les diffusions en direct des rencontres du championnat de France Elite 1, ont été pendant l’hiver dernier, les seules rencontres de rugby à XIII visibles dans le monde entier (les championnats de Super League et NRL étant en pleine inter-saison). Une médiatisation exceptionnelle et un écho très positif dans les pays ou le “Rugby League” est roi ! A tel point que les anglo-saxons ont pris conscience du niveau de jeu français, jamais vu auparavant.

Après avoir évoqué la composition des nouveaux staffs des équipes de France avec notamment la nomination de Laurent Frayssinous, Trent Robinson et David Collado, il s’est exprimé sur le championnat phare d’Elite 1.

Luc Lacoste aux côtés de Bernard Guasch le Président catalans, lors du premier match de préparation des Dragons

“Nous devons tendre davantage vers le professionnalisme avec nos clubs, joueurs, compétition et médias. Nous sommes maintenant très proches de la télévision, et c’est quelque chose dont nous avons besoin pour élargir notre audience ! Nous continuons de trouver de nouvelles possibilités pour montrer le haut niveau du rugby à XIII français. Nous voulons aider les clubs d’Elite à devenir professionnels, nous avons besoin d’encadrer et de contrôler tous les droits.

Notre championnat phare s’améliore de jour en jour mais il en va de même pour tous les autres (même ci ces derniers sont à l’arrêt à cause de la crise sanitaire), nous devons donc continuer à grandir. Nous ne ferons pas la promotion de deux nouvelles équipe s’il es trop difficile pour ces clubs de passer en Elite 1. Je ne veux pas les “tuer”. S’ils n’ont pas les finances, une bonne infrastructure, et pas assez de marketing, je dirai non ! Alors peut-être que l’année prochaine nous aurons encore 10 clubs. Je ne veux pas qu’ils prennent des risques. Ils savent que nous voulons progresser. “

L’interview est à retrouver en intégralité ici

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