Après presque deux ans sans pouvoir jouer les clubs d’Elite 2 ont hâte de reprendre le championnat. Entre ambitions & méfiance les écuries treiziste entament une nouvelle saison qui promet d’être riche en rebondissements, avec à la clef trois montées qui viendront étoffer le niveau Elite 1 l’an prochain. Tour d’horizon des clubs d’Elite 2 avant le début de la compétition au mois d’octobre avec les Geckos de Baho et ses deux co-présidents Emmanuel Cateau et Hervé Aribat.
Après un an et demi sans jouer le RC Baho espère vivre un exercice 2021/2022 bien moins agité. Jamal Fakir est arrivé avec le costume de nouvel entraîneur suite au départ de l’emblématique Didier Meynard entraîneur du club depuis sa création. Avec son nouveau staff, l’équipe a repris le chemin des terrains depuis 1 mois : “Nous avons commencé à nous préparer il y a un mois à Corneilla-La-Rivière (à l’ouest de Perpignan) car nous ne pouvions pas nous entraîner à Baho. Mais depuis lundi tout est rentré dans l’ordre”, explique Hervé Aribat.
Niveau arrivées, le club a frappé fort avec un recrutement riche : Alexis Meresta Doucet (Saint-Estève), Juan Guash (Lézignan), Paco Jamil, Bruno Castany et Hadrien Domergue (Palau), Sébastien Payan (SM XV). En plus de ces arrivées, il y a aussi le retour d’anciens joueurs ayant arrêté ces dernières années comme Maxime Da Costa et Julien Bernard. Côté départ, celui du talonneur Djirbil Dauliak (Carcassonne), Kamel Belkiri (Pia), quelques joueurs retournés à Ille et l’arrêt de Brahimi Djilali. Au final, il y a très peu de départ comme nous le confirme Emmanuel Cateau : “L’effectif reste sensiblement le même par rapport à celui de l’an dernier. Nous travaillons pour attirer une dernière recrue qui m’est encore impossible de vous communiquer”.
Avec ce beau recrutement les objectifs sont clairs du côté de Baho : “Nous avons toujours joué les premiers rôles, nous voulons aller au bout ! On ne fait surtout pas une saison pour jouer le maintien” avoue Hervé Aribat avant qu’Emmanuel Cateau précise “Le championnat s’annonce passionnant, c’est une bonne chose d’avoir autant de clubs notamment pour les joueurs et le staff. Ça leur garantit beaucoup de matchs.”.
Le ton est donc donné du côté des Geckos, espérons que sur les terrains les résultats suivent les attentes des deux co-présidents.
