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Alex Mickalézyk prêt pour l’envol en Serbie

Crédit: Astreizix

Natif de la Marne, mais arrivé à Limoux à l’âge de dix ans, Alexandre Mickalézyk a abandonné football, tennis, judo, les sports qu’il pratiquait jusque-là, pour embrasser un sport incontournable quand on vit proche du stade de l’Aiguille.

Très vite, alors, sont remarquées ses qualités à la fois physiques et techniques, si bien que sept ans plus tard il accélère sa progression au sein de Sydney Roosters, avant de rejoindre, ensuite, les Dragons Catalans U19.

Aujourd’hui âgé de 21 ans, cet élève infirmier à Toulouse a quitté Carcassonne pour le club voisin qui l’avait vu grandir, et s’épanouir.

Interview d’un joueur attachant, qui ne sera pas dépaysé, dimanche en Serbie, où il compte bien prendre son envol, et marqué de précieux points pour la suite d’une carrière internationale qui semble ne faire aucun doute.

Aux côtés de quels joueurs en partance pour Belgrade n’as-tu jamais évolué ?

Ils ne sont que cinq, Romain Pourret, Joris Bissière, Hugo Salabio, Charles Bouzinac et Thomas Lasvenes. Car j’ai fréquenté Saloty Mendy, Jordan Flovie, Paul Séguier, Arthur Romano, Louis Jouffret, en France U16 et U18, William Ousty et Justin Sangaré au CREPS de Toulouse, Arthur Mourgue, Fabien Flovie et Benjamin Vergniol à Perpignan, Romain Puso et Valentin Yesa à Limoux, Bastien Escamilla à Carcassonne.

As-tu le sentiment d’avoir progressé, la saison passée à Carcassonne ?

Je dirai plutôt que je me suis libéré, car j’avais perdu le plaisir de jouer en n’étant pas conservé à Perpignan, un an plus tôt.

Que dois-tu améliorer en priorité, dans ton jeu ?

Pour retrouver de l’explosivité, il me fallait perdre du poids, et cet été je suis passé de 113 kg à 108. Sinon, je dois être plus dur, plus agressif, sur un terrain, ce qui a toujours été mon problème.

Quels sont tes modèles, en deuxième ligne ?

Je serais probablement amené à évoluer au milieu, comme pilier ou troisième ligne, ce qui ne me dérange pas, mais à mon poste de prédilection jusqu’ici, j’ai toujours admiré Sonny Bill Williams, que j’ai eu la chance de rencontrer aux Roosters, et avec lequel je me suis presque entraîné (sourire). Plus tard, lors de mes séances d’entraînement avec les Dragons, Glenn Stewart m’avait impressionné, pour les efforts qu’il déployait, sur un terrain, l’intensité qu’il mettait dans son attitude. C’était d’ailleurs lui qui gagnait le plus de mètres, et effectuait le plus de plaquages.

Alex en 2015 sous le maillot des Roosters
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