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Aurélien, Renaud, Olivier, les “Lifeguard”: Au cœur des Bleus (Part 3)

A Manly Beach

Dans l’océan, forcément plus pacifique que la vague libanaise qu’il va bientôt leur falloir refouler, les Bleus ont passé une après-midi de détente.

Sous l’oeil, notamment, de Nicolas Rayer, l’ancien directeur exécutif des Dragons Catalans (il partageait sa chambre avec Pascal Fages, au Bataillon de Joinville, et ne manqua pas de le faire savoir à Théo), qui habite à deux pas de la plage de Manly.

Peu avant de troquer leurs shorts pour leurs maillots de bain, ils avaient pu échanger quelques mots avec Julien Rinaldi, l’ex talonneur de Villeneuve sur Lot, des Dragons et de London Broncos, venu lui aussi en voisin (il dirige avec succès une salle de sport, à Sydney) saluer son ancien coéquipier Aurélien Cologni.

Julien assistera d’ailleurs au match contre le Liban, à Canberra, comme plus tard à Perth la fille de José Moya, grande figure carcassonnaise du rugby à XIII, sera dans la tribune du Rectangular Stadium de la ville des bords de l’océan indien, où elle vit et travaille.

En attendant de rentrer de plain-pied dans la compétition, les tricolores se soignent, à l’image de Benjamin Jullien, qui ne se ressent pratiquement plus de sa contusion à une épaule, contractée devant la Jamaïque.

Aurélien, Renaud, Olivier, les “Lifeguard”

Et, surtout, ils s’imprègnent jour après jour de l’importance de l’évènement, entre séances de muscu, de terrain, de massages, de vidéo, et de… plage, donc.

Celle, gigantesque et peu bétonnée, de Manly, où en cette douce après-midi de printemps, rares étaient les serviettes étendues sur le sable, et plus rares encore les baigneurs.

Aussi les Bleus étaient-ils seuls au monde, ou presque, entre deux ou trois adeptes de Kitesurf et à peine plus de “Lifeguard”. Dont ils n’avaient d’ailleurs nul besoin, Aurélien Cologni, Renaud Guigue et Olivier Janzac se chargeant de la surveillance.

Une fois accomplis des petits jeux ludiques, à base de passes en tous genres et de coups de pied destinés à mettre en difficulté leurs vis à vis, les joueurs, accompagnés du “doc” Christian Valero, des kinés et de “JC” Lafont, l’intendant en chef, ont donc pris un maximum de plaisir à braver des vagues de parfois deux mètres de haut, dans une eau à 19°.

Le lendemain, pas question pour eux de quitter leur nid, à la fois douillet et sauvage, de Narrabeen. Car plus les jours passent, et plus les choses sérieuses pointent à l’horizon.

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Comments (4)

  • Moine Eric

    Les veinards, j’aimerais bien être à leur place mais bon je n’y suis pas, mais je pense que ça leur fais du bien avant que les choses sérieuses commencent ! …..

    18/10/2017 à 12:03
  • Imbert Bernard et Roberte

    D’excellentes conditions pour bien récupérer du voyage et s’acclimater au rythme de vie Australien . Toutes les conditions sont remplies pour faire une bonne coupe du monde. Allez les bleus !!!

    18/10/2017 à 12:26
  • JLMarty

    Le groupe FRANCE a de super condition de travail et on compte sur eux avec un 1/4 de Finale. Ce que vous allez vivre est exceptionnel dans la vie d’un joueur. Allez les bleus!!!

    18/10/2017 à 15:09
  • boyer

    allez les bleus faites nous rèver pourquoi pas une demie_ finale MACAREL que ce serait beau!!!!!!

    19/10/2017 à 07:19

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