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Jamal Fakir : souvenirs, souvenirs…

Jamal Fakir est désormais un jeune retraité, et nous avons demandé à l’emblématique ex deuxième ligne puis pilier international des Dragons Catalans, de puiser dans sa malle aux souvenirs.

Si, parmi tes adversaires, tu ne devais citer qu’un seul pilier anglais ?

Stuart Fielden, car c’était impressionnant pour moi, à mes débuts, d’affronter un joueur déjà aussi expérimenté.

Un deuxième ligne ?

Elliott Whitehead.

Un pilier australien ?

Petero Civoniceva.

Un deuxième ligne ?

Je ne l’ai pas rencontré, mais j’admire Boyd Cordner, le capitaine des Roosters.

Un pilier néo-zélandais ?

Fuifui Moimoi (ndlr : il a aussi été son adversaire dans les rangs du Tonga).

Un seul match du XIII de France ?

Je ne peux dissocier celui contre l’Australie, en novembre 2004 à Ernest-Wallon (ndlr : superbe résistance des Bleus, menés 28-16 à la pause, avant de s’incliner 52-30), de celui contre la Nouvelle-Zélande, l’année suivante également à Toulouse, où nous étions en tête au score (22-20) à un quart d’heure de la fin (ndlr : les tricolores s’inclinèrent finalement 38-22).En face il y avait Stacey Jones, qui a rejoint les Dragons un an plus tard.

Un seul essai sous le maillot bleu ?

En 2004 justement, contre les Kangourous, sur passe de Maxime Grésèque dans les trente mètres adverses.

Tu en as inscrit deux autres le 29 octobre 2006 à Colomiers, lors de votre victoire 28-6 contre les Samoa…

C’est vrai, mais je n’ai guère de souvenirs de cette rencontre.

Et un, en outre, avec le Maroc, contre les Etats-Unis, le 20 novembre 2000 à Wigan…

J’avais tout juste 18 ans (ndlr : il est né le 30 août 1982), et nous avions effectué une tournée outre-Manche, avec le Maroc, pour la Coupe du monde des pays émergents. J’avais disputé trois des quatre matchs, face aux USA, au Japon, et à la BARLA (ndlr : Jamal évoluait au centre, en compagnie notamment de Mohamed Sabri, Hichem Oumansour, Tarek Bliel, Hicham Laarini, Ouahib Fryed…)

Un coéquipier à Villeneuve-sur-Lot ?

Je pourrais en citer plein, à commencer par Fred Banquet et David Collado, mais puisqu’il n’en faut qu’un seul, mon choix se porte sur Laurent Carrasco. J’ai encore des liens étroits avec lui, aujourd’hui, nous nous voyons quand je retourne à Villeneuve, et nous nous téléphonons régulièrement.

A l’UTC ?

Beaucoup, également, comme Mathieu Griffi, Teddy Sadaoui, Adel Fellous…

Chez les Dragons ?

Joker, sinon je vais faire des jaloux.

A Bradford ?

Elliott Kear, la première personne que j’ai rencontré en arrivant là-bas. Je logeais chez lui, au début. C’est quelqu’un de humble, ce que j’apprécie chez les autres.

A Lézignan ?

Charles Bouzinac; car lorsque j’ai rejoint le club des Corbières il était déjà talentueux, et à l’écoute, demandeur de conseils. Je le respecte beaucoup.

A Palau ?

Je n’y ai passé que quelques mois, et je pencherai plutôt pour le trio de présidents, Valérie, Thomas, Nicolas. Je tiens à leur tirer mon chapeau.

Recueilli par H. Girette

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