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Un nouvel assistant et un nouveau préparateur physique à Limoux!

Paul Barbaza sera toujours limouxin en 2018-2019
Crédit Richard photographe

Si Mickaël Murcia réfléchit actuellement à la suite qu’il entend donner à sa carrière, de joueur et/ou d’entraîneur, et si évidemment une place sera toujours réservée, le cas échéant, au sein de l’encadrement technique ou au comité directeur comme dirigeant, à celui que Maxime Grésèque nomme “la mémoire de Limoux”, ce dernier aura un nouvel assistant, la saison prochaine, en la personne de l’Australien Daniel Wagon, ex joueur émérite du club rouge et noir, entraîneur des U19 en 2017-2018.

Un rôle auprès des jeunes qu’il n’abandonnera pas complètement à la rentrée sportive prochaine, assure Maxime Grésèque : “Daniel sera mon adjoint et fera partie d’un groupe de deux ou trois entraîneurs à la barre des juniors, Gérard Basseto sera en charge de l’analyse vidéo et des statistiques, et nous sommes à la recherche d’un préparateur physique”.

Barbaza parti pour rester

Un nouveau staff, donc, pour un groupe quasiment semblable à celui qui vient de disputer deux finales. “Les joueurs ont été reçus un par un, lundi, et l’effectif sera renouvelé à 95% (ndlr : trois ou quatre joueurs, actuellement en vacances, n’ont pu s’entretenir avec le coach), alors que nous souhaitons recruter quatre joueurs français, deux dans le pack, deux dans la ligne des trois-quarts, “Mika” étant actuellement en phase d’interrogation”, assure l’entraîneur d’une formation à la tête de laquelle on trouvera toujours les précieux cadres, comme Maxime Herold, Mickaël Rouch, Mathieu Mayans, Paul Barbaza, ce dernier ayant fait l’objet, en vain, de sollicitations de la part d’un autre club audois.

Concernant les joueurs étrangers, Daymeric Pelo, actuellement provisoirement aux London Broncos, souhaite poursuivre l’aventure avec les Blanquetiers, et réciproquement, alors que si Joel Edwards se dit lui aussi attaché au club rouge et noir, il sera peut-être contraint de le quitter pour retourner en Australie, raison familiale oblige.

Le coach, lui, a évacué sa légitime déception, mais peut être fier du travail accompli, durant six mois, à la tête d’une équipe qu’il a rejoint de manière précipitée, et sur le tard : “Je pense avoir beaucoup appris de cette première expérience d’entraîneur, et ma motivation n’en est aujourd’hui que plus forte”.

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