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Paul Gentil en rouge et noir…

Une belle technique et un tempérament de feu

Le deuxième dimanche du mois d’avril, lors de l’assemblée générale de l’Amicale des anciens de Limoux XIII, dont il est un des responsables, Paul Gentil était dans son élément. A savoir l’amitié, la fidélité, autant de valeurs qu’il a toujours érigé en principes. Sans oublier le souvenir des “frères” disparus, tels Paul-François De Nadaï ou Hervé Guiraud, aux côtés desquels il a si souvent bataillé, sur le terrain. Des souvenirs toujours profondément ancrés dans sa vive mémoire, et que l’ancien double finaliste de la Coupe de France Lord Derby, en 1984 et 1985 dans les rangs “rouge et noir”, d’une rare régularité dans les performances, nous fait ici partager.

CARNAVAL

“J’ai pu vérifié par moi même que la baisse de régime de l’équipe durant la période de Carnaval n’est pas une légende. Pour schématiser, je peux dire aujourd’hui que j’ai passé ma carrière à faire la fête, entre celles de septembre et de l’hiver”.

CAPESTANG

“C’est dans ce club de rugby à XV que j’ai débuté, avec Gilbert Rouanet (NDLR : gloire du FC Lézignan) un temps comme coéquipier. J’ai joué ensuite une saison à Valence, en compagnie notamment d’Elie Cester, mais je me suis rapidement blessé à une cheville, et l’année suivante je découvrais le XIII à Paris, avec entre autres Didier Guiraud, dans le Groupe B, costaud à l’époque avec Saint-Gaudens, Pamiers, Bordeaux-Facture… J’ai été le meilleur marqueur d’essais mais nous n’avons pas gagné un seul match de la saison. Puis, muté professionnellement à Carcassonne, j’ai opté pour Limoux, sur l’insistance de Jo Guiraud, malgré les sollicitations de l’AS Carcassonne et du FC Lézignan. Et je ne me suis plus jamais blessé. A chaque inter-saison, des clubs comme Saint-Estève, Pamiers, revenaient à la charge. Mais à Limoux, j’étais trop bien. Certes, j’avais signé à l’US Carcassonne, comme Jean-Marc Gonzales, au temps du conflit XV-XIII lié notamment au recrutement par Limoux de Guy Spanghero, mais je n’y suis resté que trois mois, privé de licence mais surtout de Limoux. J’avais la nostalgie…”

Extrait du Magazine FFRXIII de mai 2018.(52 pages de Rugby à XIII)

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